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JL·S · Une histoire ·
La Cardère Sauvage,
" le cabaret des oiseaux"
La fleur aux mille vertus protégées par ses piquants.
Ses jeunes feuilles, opposées par paires et soudées à leur base, forment une coupe qui retient l'eau de pluie, pour mieux l'offrir aux oiseaux. Dipsacus dérive d'ailleurs du grec dipsan akeomaï «je guéris la soif».
Les feuilles flétries dessinent d'étranges signes sorciers en automne. Finalement, les inflorescences séchées perdurent tout l'hiver, parfois jusqu'au printemps suivant, perchées sur leur tige comme des totems indiens.
De sa silhouette jusqu'à sa macroscopie, sa robe majestueuse demeure éternellement discernable et inoubliable.
· Une illustration ·
Une illustration connectée avec l'essence de mes créations.
Le détail et la texture témoignent une réelle empreinte.
Telle une plante reprenant ses droits, qui repense son équilibre en ré établissant le lien avec l'essentiel.
La blason de JL·S reprend racines.
· Un ambigramme ·
Par inversion symétrique, le logotype fournit le même symbole, une même lecture, celle des initiales J et L.
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